La clé pour déployer ses ailes sur le web : la visibilité. Et pour être visible, il faut répondre à plusieurs critères techniques et sémantiques, auxquels les moteurs de recherches et leurs algorithmes font appel pour afficher leurs résultats. Un article écrit par l’agence Mutee, qui nous accompagne dans notre stratégie SEO.

Parmi l’un de ces critères essentiels, l’un d’entre eux a pris de plus en plus d’importance aux yeux des moteurs de recherche. C’est (encore) l’expérience utilisateur. Dans cette notion d’expérience, on intègre plusieurs étapes allant de la découverte à la conversion, en passant par les interactions. Mais bien avant cela, bien avant de présenter votre contenu, votre offre, vos arguments clés, il faut être rapide !

Petit flash-back pour celles et ceux qui ont vécu les débuts du net : imaginez aujourd’hui charger une page web à la vitesse d’un modem 56k des années 90… Seriez-vous suffisamment patient pour attendre que le contenu s’affiche ?

Depuis plusieurs années, les attentes des internautes ont beaucoup évolué et la vitesse de chargement est devenue bien plus qu’un service à apporter. À titre d’exemple, la 1ère plateforme e-commerce au monde, Amazon, a estimé qu’une seconde de temps de chargement en plus de ses pages entrainerait… 1,6 milliard de dollars de perte chaque année !

Si vous n’avez peut-être pas les mêmes enjeux qu’Amazon, la vélocité de votre site est tout aussi importante pour votre business.

Google PageSpeed Insights en un clin d’œil

Parce qu’une image vaut mille mots, ce tuto vous éclairera sur l’essentiel à savoir et à voir une fois sur Google PageSpeed Insights — vous pourrez télécharger ce document ici, et retrouver cet article en scannant le QR code.

Google Page Speed

Google PageSpeed Insights analysera votre site web selon 4 critères :

  • La performance de chargement, notamment celle des premiers éléments à charger (ex : photos, vidéos, applications…) ;
  • L’accessibilité à la page, d’un point de vue technique et fonctionnel (ex : code, scripts, structure…) ;
  • Les « bonnes pratiques » en termes de sécurité (ex : https), de confidentialité (ex : RGPD), d’affichage (ex : formats) ;
  • Le respect des techniques d’optimisation SEO de la page (ex : balises).

Chaque point sera détaillé, ce qui vous permettra ensuite d’identifier les optimisations à prioriser et de vous congratuler sur les efforts déjà fournis. Une fois ces modifications réalisées, vous pourrez de nouveau analyser votre site, avec pour objectif d’atteindre la note minimale recommandée de 90/100, sur les 2 canaux — mobile et bureau.

Vous l’aurez compris, 2024 devra donc être une année « verte » à tous les niveaux, tant du côté des performances de votre site que de sa consommation en carbone. Car, même si le rapport PageSpeed de Google n’en fait pas référence, les deux sont intimement liés ! (Rendez-vous demain pour en savoir plus…)