hatebookJ’ai bien ri en m’inscrivant sur hatebook, l’antithèse de facebook : au lieu de chercher à  avoir une communauté d’amis, c’est une groupe d’ennemis que l’on va identifier (et tout ceci dans la joie et la bonne humeur).
J’ai donc bien ri, dès la confirmation de mon inscription (« Hello Sucker xxx! Your registration to the Evil Empire was successful »), jusqu’à  ma page perso, qui détourne les fonctionnalités des réseaux sociaux : de Gossip pour les actualités du réseau, à  vos HatePhotos, ou encore votre Evil Map pour savoir quels sont les Haters proches de chez vous. Votre premier contact dans vos Homies sera même Dr Evil!
Bref, je me suis amusée sur hatebook, mais je ne pense pas réellement y revenir pour y créer ma petite communauté…
Lu dans TechCrunch