Il y a quelques poignées de semaines, une partie de la team était à la Social Media Week à Londres, en quête d’inspiration et d’idées nouvelles à ramener dans nos besaces de frenchies… Et nous sommes rentrés gonflés à bloc ! Parmi nos bonnes résolutions : ajouter une bonne dose de créativité visuelle dans notre travail.

Nous n’avons pas eu à chercher longtemps : nous suivons depuis longtemps Romain que nous avions croisé pour certains dans la vraie vie, pour d’autres sur les Internets. Nous l’aimions déjà. Un rendez-vous a suffi pour nous convaincre : le temps que Romain fasse ses cartons entre Paris et Rennes, nous trépignions d’impatience. Oui mais pourquoi ?

Parce qu’il est cool

On a pu le lire dans le billet d’adieu de ses anciens collègues de travail, Romain est une sorte de Fonzy des années 2010, notre mascotte devant l’éternel.
Romain est un mec calme, discret, à l’écoute et qui ne fait pas état de nos choix musicaux au bureau. Un brief de quelques minutes (parfois un regard) suffit pour qu’on se comprenne. Ses propositions nous enthousiasment, et on aime son travail qu’il sait expliquer, étayer, argumenter.

Parce qu’une image vaut mille mots

L’Œil au Carré aura bientôt 7 ans (fête il y aura, certains sont déjà sur la liste) : nous pouvons dire aujourd’hui sans fausse modestie que nous sommes des pros de la stratégie de contenu sur le web. Nous maîtrisons les mots, leur impact pour nos clients qui souhaitent les transmettre, pour les internautes qui les lisent et les moteurs de recherche qui les indexent. Mais les mots ne suffisent pas : nous avons des tonnes d’idées et de messages à faire passer, pour nous comme pour nos clients.

Parce-qu’on croit au potentiel d’une équipe

Pourquoi ne pas avoir fait appel à un freelance, me direz-vous ? C’est en quelque sort notre marque de fabrique : nous ne faisons pas appel à des prestataires, indépendants ou agences, dans nos domaines de compétences. Celles de Romain sont une extension de notre savoir-faire : les mots sont notre terrain de jeu, nous avons besoin de les illustrer pour les rendre plus percutants, accessibles, engageants.

Parce qu’on veut expérimenter le « test & learn » à 3000%

Nous avions conclu après la Social Media Week à Londres que les entreprises françaises n’avaient pas à rougir de leurs pratiques ou des questions qu’elles se posent. La grande différence entre les entrepreneurs d’ici et de là bas ? Leur agilité, leur soif d’aventure liées à leur non-peur de l’échec (on entend souvent, à juste titre, la différence de traduction entre « prendre le risque » et « take a chance »).
Bref, la Social Media Week a été notre piqûre de rappel : il nous faut être créatif, au travers des mots et des images, soit, mais il nous faut aussi tester, se tromper, retester, réussir ou se (re)tromper pour trouver l’ingrédient miracle, la recette qui tue, le concept magique… Et Romain est l’une de nos cartes maîtresses, en plus d’être un collaborateur génial !
Bienvenue à Romain, on te kiffe déjà, et en route pour de belles aventures !