D’après Le Nouvel Economiste de la semaine dernière, les do-tanks, présents dans les pays anglo-saxons depuis une dizaine d’années, font leur apparition en France. Ces think-tanks « nouvelle génération » se différencient de ces derniers en étant davantage dans l’action que dans la réflexion.
Prometheus est donc le premier do-tanks français : fondé par Bernard Carayon, il regroupe une dizaine d’entreprises françaises, dont Dassault, Areva, Sanofi et Alstom. Sa mission principale est de « tirer profit de la mondialisation » (plus d’infos à  ce sujet ici).
D’après l’actuel directeur général du do-tanks, Pablo Nakhlé : « Alors que les think-tanks ont une vocation d’influence et de proposition, les do-tanks formulent directement des politiques publiques et oeuvrent pour leur application ».
Lu dans Après les think-tanks, les do-tanks, dans Le Nouvel Economiste du 15 novembre 2007
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