C’est un peu le même refrain depuis quelques semaines : le temps me manque! Ce n’est pourtant pas faute de vouloir réagir à  des sujets d’actualités, comme par exemple les vives réactions suscitées par l’appel d’offre de l’Education nationale (voir précédent billet), que je trouve complètement décalées, voire symptomatiques d’une société à  tendance archaïque… Il y a aussi Google, qui prétend pouvoir prévoir les épidémies de grippes en fonction des requêtes entrées par les internautes sur son moteur (??!!), bref, comme je le disais plus haut, les sujets ne manquent pas…
Mais mes nouveaux projets professionnels et personnels accaparent mes journées! J’espère pouvoir souffler un peu d’ici une quinzaine de jours…
D’ici là , je ne manquerai pas de vous transmettre des articles que je trouve intéressants, même s’il ne s’agit que d’un copier-coller, sans analyse. Comme ici :

Depuis deux ans, Orange a mis en place le système « idclic », qui permet à  tout salarié du groupe de déposer une idée sur l’intranet. Cela va de la trouvaille technique à  l’astuce de bons sens qui facilite la vie du client ou du salarié lui-même. (…)
Et ça marche ! Le nombre d’idées proposées par les salariés a bondi de 1 000 en 2006 à  plus de 25 000 cette année ! Toutes n’aboutissent pas. « Environ 15 % des idées proposées ont été mises en oeuvre. Près de 35 % sont en cours d’approfondissement. Les 50 % restant sont archivées : on ne leur donne pas suite mais elles peuvent intéresser l’entreprise dans le futur », explique David Richard, directeur de la transformation, performance et communication interne d’Orange France.
Pour l’opérateur, c’est une opération doublement réussie. D’une part, financièrement, le retour sur investissement est important. « En année pleine, cela représente un gain pour Orange de 300 millions d’euros », indique David Richard. D’autre part, en termes de ressources humaines, c’est un instrument de motivation et d’implication des salariés. (…)

Lu dans Orange économise 300 millions d’euros grâce aux idées des salariés, dans le Figaro Economie du 20 novembre 2008.